Découvrez l’article d’Aurélie Lecoanet, spécialisée dans le régime diététique à Beaune (Côte d'Or 21).

L’alimentation est, après le tabac, le facteur de risque comportemental le plus important, surtout dans le déterminisme du risque coronaire. L’effet athérogène du régime alimentaire repose sur la modification de plusieurs facteurs de risque tels que les lipides, la glycémie, l’HTA (hypertension artérielle) et est très intriqué avec des facteurs de risque comme l’obésité. C’est la consommation d’acides gras saturés qui est athérogène en augmentant le LDLcholestérol (appelé « mauvais cholestérol »).

Le régime méditerranéen (pauvre en acides gras saturés et riche en acides gras insaturés) est associé au risque cardiovasculaire le plus bas et à l’espérance de vie la plus longue.

 

L’obésité

Elle est évaluée par l’indice de masse corporelle (poids/taille2) (IMC). Les normales sont de 20 à 25 chez l’homme et de 19 à 24 chez la femme. On parle de surpoids lorsque l’IMC est supérieur à 27 et d’obésité au-delà de 30. L’obésité est dite morbide pour des IMC supérieur à 40. Par ailleurs, cette obésité peut être de type gynoïde ou androïde. C’est la répartition androïde des graisses, avec l’augmentation de la masse grasse intra-abdominale, qui augmente le plus le risque cardiovasculaire. Elle est actuellement mesurée par la circonférence abdominale (< 102 cm chez l’homme et < 88 cm chez la femme.)

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Facteurs de risque cardio-vasculaire.